Les lieux à visiter pour partager vos plus belles photos
Alimentez vos souvenirs et vos réseaux sociaux en parcourant les sites les plus "photogéniques" de Salaberry-de-Valleyfield.
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S’adresse à
Familles
Groupes
Couples
Personne seule
- Tour des Régates
Située en bordure de la baie et du vieux canal, la tour de 4 étages surplombe la marina et ses 400 places à quai en plus de donner une vue exceptionnelle sur l'affluent du fleuve/lac Saint-François. Selon les conditions, les couchers de soleil y sont magnifiques.
- Baie et fontaine du lac Saint-François
Les belles journées chaudes et ensoleillées d'été vous donneront l'occasion de découvrir une baie remplie de voiliers et de bateaux à moteur, entourée de verdure. Ancrés au pied de la fontaine qui danse sous le vent, les bateaux forment un décor complètement unique et créent une réelle impression de dépaysement.
- Pont Jean-de-La Lande
Le pont piétonnier Jean-de-La Lande traverse l'ancien canal de Beauharnois du nord au sud. Cet ouvrage patrimonial a été déplacé à quelques occasions depuis sa construction originale dans les année '1800. C'est en 2013 qu'il est réhabilité par la Ville et érigé au site actuel. Les jeux de lumières qui l'éclairent en soirée en font l'un des monuments les plus photographiés à Salaberry-de-Valleyfield.
- Vieux Canal et scène flottante
L'ancien canal de Beauharnois (à Salaberry-de-Valleyfield) constitue un site classé historique par le ministère de la Culture et des Communications. Depuis 2006, il est partiellement rouvert à la navigation de plaisance et permet d'accoster au coeur du centre-ville, entre le majestueux parc Delpha-Sauvé et la rue Victoria. Avec sa scène flottante, son bar-terrasse animé et les nombreux visiteurs à bateau qui viennent s'y poser pour la nuit, l'effet est généralement Wow !
- Îles de Saint-Timothée
À partir du Parc des îles-de-Saint-Timothée et de sa plage, vous aurez une vue imprenable sur les îles qui composent le bassin. Qui plus est, vous pourriez les contourner à vélo en parcourant la boucle du bassin (8 km).
- Terrasses et restos
À Salaberry-de-Valleyfield, le pôle commercial du centre-ville et de ses alentours regorge de restos, cafés, pubs-bars indépendants. On tombe facilement sous le charme de leur menu original, de leur terrasse chaleureuse et surtout de leur ambiance vibrante. Bref, on sait que vous risquez de vouloir immortaliser ce moment.
Ici pour les découvrir :
Restos-pubs-terrasses
Cafés - sandwicheries
- Basilique Cathédrale Sainte-Cécile
Une cathédrale, c'est pas rien ! Salaberry-de-Valleyfield peut s'enorgueillir d'en avoir une en son centre. Depuis la première église érigée en 1855, deux incendies ont partiellement détruit son cadre bâti. Néanmoins, la Basilique-cathédrale actuelle renferme des trésors d'anecdotes, d'histoire et d'oeuvres. L'histoire des Zouaves est aussi associée étroitement à la paroisse Sainte-Cécile.
- Les Régates
Entre les hydroplanes, la scène, les spectacles et la vue sur la baie, les choix de clichés à partager pourraient être nombreux. C'est sûrement l'ambiance vibrante en général et l'air de fête que vous voudrez refléter. C'est quand ? Ici pour l'info.
- Hôtel MOCO
Sis dans l'ancienne usine de coton reconnue comme l'une des plus importantes au Canada (Montreal Cotton Company), l'hôtel MOCO révèle un riche patrimoine industriel. Ses murs de briques et sa cheminée distinctive nous transportent quelques décennies en arrière.
- Sculptures d'art public
Quelques oeuvres d'art sculpturales ont été érigées dans les dernières années. Elles évoquent généralement une anecdote, un fait historique ou un symbole identitaire du milieu.
Neptune : Neptune est une œuvre d’art symbolique réalisée par les sculpteurs Reynald Piché et Denis Poirier en commémoration du 75e anniversaire des Régates. Il personnifie en quelque sorte les conducteurs d'hydroplanes qui, lors des compétitions, deviennent des dieux. L’allégorie illustrée démontre un masque d’inspiration ancienne auquel vient se greffer une régate et sa colonne d’eau dans la chevelure du dieu. L'installation profite d'un magnifique éclairage la nuit tombée.
En plus, un ingénieux procédé permet à la statue de « parler »! En effet, quatre haut‐parleurs ont été installés dans la structure. Sur commande manuelle et aussi en utilisant un système fonctionnant avec un détecteur de mouvement, vous pouvez entendre un conte original, œuvre de la Tribu d’Éperdus, un groupe de jeunes conteurs et musiciens de la relève campivallensienne. Nos conteurs vous racontent à leur façon l’histoire de Neptune.
Transition : Cette œuvre d’art de type monumental est située au centre du carrefour giratoire Victoria Est. Cette sculpture réalisée par l’utilisation de métal filaire en acier inoxydable, où les zones ajourées permettent des jeux de lumière, pèse environ 1 000 lb. Elle est le fruit du travail de deux jeunes artistes de la relève, soit Ian et Gabriel Laframboise, ainsi que de leur père, Denis.
L’œuvre épurée représente les efforts déployés par les différents travailleurs et travailleuses qui ont participé à l’édification de notre communauté des années 1800 à aujourd’hui. Telle une famille, les personnages soutiennent l’enfant qui, à son sommet, pointe vers le centre-ville et vers l’avenir. Le positionnement de cette œuvre est des plus signifiants. En effet, la sculpture est déposée directement au-dessus du lit de l’Ancien-Canal-de-Beauharnois (centre du carrefour), un ouvrage d’art majeur qui a contribué au développement de notre ville. Avec la venue de l’Autoroute 30, cette entrée de ville bénéficie maintenant d’une belle signature visuelle.
Héron : La sculpture du Grand Héron au parc Sullivan, près de la rue Fabre, nous rappelle à sa manière l’impact que peut avoir le plastique sur la faune du Saint-Laurent. Cette œuvre d’art, partiellement réalisée à partir de résidus plastiques tirés du nettoyage de la rivière Saint-Charles, rend ainsi hommage et respect au milieu de vie qui nous entoure et nous évoque l’importance de le préserver.
Souffle d'Éole : À la place des Tisserands, entre la baie et l’ancienne usine Montreal Cotton, se trouvent trois magnifiques sculptures, œuvres de messieurs Denis Poirier et Reynald Piché. Elles représentent une famille, prototype de toutes les familles campivallensiennes qui ont travaillé à cette usine de coton durant plusieurs décennies. On y reconnait une femme, un homme et un enfant, tous revêtus de grands draps blancs qui leur confèrent des allures d’archanges. Cette symbolique nous rappelle que tous ces ouvriers et ouvrières ont défendu avec fierté les droits des travailleurs. Supportés par le souffle d’Éole, ils s’envolent vers l’avenir d’une ville ne plein essor.